Née à Uccle-Bruxelles en Belgique en 1957, Marie-Laure Van Hissenhoven obtient en 2000 son diplôme en peinture de l’Académie des Beaux Arts de Carrara , en Toscane, Italie. Elle s’engage dans la voie de la peinture dès lors.
Aujourd’hui elle vit entre la Suisse et l’Italie et partage son temps entre sa production artistique et ses projets d’exposition.
Elle expose principalement,en Italie et en Suisse, mais également au Danemark, en Corée du Sud, au Japon et quelques autres pays.
On retrouve ses œuvres dans des collections privées et publiques notemment à l’Academia Belgica et à l’Istituto Portoghese di Cultura à Rome.
Parmi les nombreuses expositions dans son parcours, citons les collectives « Arte in Ostaggio », 2004, « Insulae », 2006, organisées par la galerie d’art conceptuel Il Gabbiano, La Spezia IT ; « Mai dire Mao- Servire il Pop », grande foire du Mercante in Fiera, Parme ; « 13x17 », 2007, padiglione Italia, Venezia , sous a direction de la galerie Jean Blanchaert et Philippe Daverio ; « Lo Stato dell’Arte », 54° Biennale de Venise sous la direction de Vittorio Sgarbi ; « Le Cave e i Draghi », organisée par la galerie Sinopia, Rome.
Parmi les expositions personnelles signalons « Tokyo Ga », sous la direction de l’association culturelle du Japon et la galerie Jean Blanchaert, Milan, 2007 ; « Portus », sous la direction de l’Academia Belgica, Rome, 2012.
Ce que l'on dit d'elle:
« Les peintures de Marie-Laure Van Hissenhoven font référence à la réalité quand l’homme est absent ou d’une présence virtuelle même si il reste le maitre des artefacts et où le désenchantement, l’isolation, l’éloignement règnent suprêmes. »
Ferruccio Battolini , critique d’art, La Spezia IT, 2003.
« …tout est trop immobile pour être vrai, ceci est un paysage rêvé : le couleurs, les formes sont trop nettes, la lumière trop méridienne. L’art réaffirme ses règles et la vie est soumise à un processus aliénant. »
Enrico Formica, critique d’art, La Spezia, IT, 2003.
« Même le paysage s’adapte à accueillir la ligne droite souveraine qui s’exprime dans les pylônes, les grues,….Parfaitement adaptée à son regard d’artiste apparait la parole anglaise de « still »… »
Walter Geerts, directeur de l’Academia Belgica, Rome, 2014.